Kalhan Amnell [prédéfinie] | Terminée

Histoire de la nuit où elle a perdu sa famille
[minimum 100 lignes ; environ 159 lignes pour mon écran]

Une nuit alors qu'elle avait fêté son dixième anniversaire peu de temps auparavant, elle entendit un drôle de bruit venant du rez-de-chaussée, restant la jeune fille emplie de courage, elle sortit doucement de son lit et atteint la porte de sa chambre. Elle se demandait si ses parents avaient un invité, elle regarda par la fenêtre mais vu la noirceur du ciel, elle se dit que cette première idée n'était pas la bonne. Elle pensa ensuite à un voleur, sa famille était riche après tout, même que tous les enfants à l'école lui en voulaient à cause de ça alors qu'elle n'y pouvait rien elle, mais de toute façon les enfants de l'école étaient tous méchants et ils ne méritaient pas d'être au même niveau social qu'elle. Arrêtant de penser à ses déplaisirs avec ses camarades, elle décida d'aller réveiller ses parents et son grand-frère, si c'était un voleur, il fallait qu'ils soient tous au courant afin de l'arrêter, il fallait agir, il pourrait prendre tout ce qu'il voulait sinon, et ce n'était pas bien du tout ça. Elle connaissait les bases, le bien et le mal, elle avait appris à les reconnaître à se faire sa propre idée sur le sujet, écoutant les grands parler était toujours d'une grande aide dans ces cas-là.

Elle ouvrit doucement sa porte pour faire le moins de bruit possible et se dirigea à pas de loup vers la porte de la chambre de ses parents. Celle-ci était grande ouverte et en entrant, elle ne vit rien. Après tout il faisait noir, c'était certainement normal, elle avança jusqu'à leur lit et vit que celui-ci était vide, bien que défait ce qui prouvait qu'ils dormaient peu de temps auparavant. Ils étaient peut-être en bas en train de s'occuper de l'homme, elle décida alors de voir son grand-frère, bien qu'il n'ait jamais été des plus gentils avec elle puisqu'elle était la préférée de la famille, il l'aidait toujours d'une manière ou d'une autre. Elle avança toujours doucement, sans faire de bruit, bénissant l'idée de ses parents de mettre de la moquette sur le palier et de son idée à elle de partir pieds nus pour réveiller tout le monde. Elle arriva devant sa porte et vit que celle-ci aussi était grande ouverte, elle suivit le même schéma que pour la chambre de ses parents, elle entra, ne vit rien et décida donc de s'approcher pour essayer de distinguer une forme dans le lit, le lit était vide et défait, prouvant que cette fois-ci aussi, la personne qui l'occupait précédemment était sortit de celui-ci pour aller à x endroits.

Elle ne savait pas quoi faire, peut-être qu'après tout il n'y avait aucun intrus, peut-être que ses parents et son frère étaient en bas en train de parler parce que l'un d'eux ne savait pas dormir, ou autres raisons, peut-être qu'après tout, elle s'était faite des idées et qu'il n'y avait aucun danger, bien que comme la majorité des personnes, un sixième sens lui faisait comprendre d'éviter d'aller plus avant et de s'approcher des escaliers. Elle mit de côté son instinct de survie en quelque sorte et s'approcha des escaliers, c'est à ce moment-là qu'elle entendit des voix étouffaient, des voix qui semblaient étrangement être suppliantes. Cela n'était pas normal, pourquoi est-ce que quelqu'un supplierait une autre personne dans la famille? Personne n'avait jamais taper sur l'autre, la famille était plus ou moins soudée, comme toute famille normalement constituée. Elle serra son petit corps de ses petits bras et commença la descente de l'escalier, les voix lui parvenant de plus en plus fort au fil de son chemin. Elle avait bien entendu supplier, elle entendait toujours le même ton, et entendait aussi des pleurs, ainsi que des rire plus ou moins sadiques, tout la perturbait, elle ne comprenait pas, ne réussissait pas à distinguer qui faisait quoi, ou disait quoi, elle était de plus en plus perturbée alors qu'elle arrivait en bas des marches. Toute la maison était silencieuse et dans le noir total, si on ne comptait pas la lumière venant du salon, la porte de celle-ci étant entre-ouverte, le couloir dans lequel elle se trouvait se faisait légèrement éclairer.

Retenant son souffle, elle s'approcha doucement de la porte, voulant mettre au clair ce qu'il se passait. Elle marchait toujours silencieusement, évitant de justesse les objets qui lui gênaient le passage grâce à la lumière diffuse par l'entrebâillement de la porte. Alors qu'elle s'approchait, un nœud se faisait de plus en plus grand au fond de sa gorge, elle sentait ses intestins se tordre de plus en plus, elle avait envie de pleurer et de crier, de savoir ce qu'il se passait sans devoir aller voir. Elle ne se sentait plus le courage de faire un pas en avant mais ses pieds continuaient leur chemin comme si ce qu'elle voulait n'avait pas d'importance en ce moment même. Elle se retenait de parler, de respirer trop vite ou trop fortement, elle retenait chacun de ses pas pour que celui-ci ne se fasse pas entendre quand il se retrouvait sur le sol. Alors qu'elle arrivait au niveau de la porte, elle sentit une main se poser sur son épaule, en même temps une deuxième main atterrit sur son corps, elle servit à couvrir sa bouche alors qu'elle sursautait violemment et qu'un cri sortait de sa bouche, bien entendu celui-ci fut couvert par la dite main qui lui avait fait peur. Elle était tétanisée, quelqu'un était derrière elle, quelqu'un la tenait avant même qu'elle ne puisse voir ses parents dans la pièce devant. Elle sentit la personne bouger et se rapprocher de son oreille, puis la voix de son frère atteint son cerveau, ce n'était qu'un murmure, vraiment bas, presque imperceptible. Il lui disait d'aller se cacher dans le placard du couloir et qu'à la première occasion, elle devrait s'enfuir de la maison, que lui ne pouvait plus l'accompagner puisqu'il venait de se faire repérer. Elle se fit pousser vers la seul placard du coin, elle ne voulait mais elle fut emmenait de force par son grand-frère, elle fut poussée à l'intérieur sans avoir le temps de dire un seul petit mot.

Tout était sombre autour d'elle, tout était petit, renfermé, ça sentait mauvais, c'était inconfortable, en plus elle était appuyée sur quelque chose de dur qui n'était vraiment pas à sa place. Elle le décala tout doucement pour se rendre compte que c'était un parapluie ou au moins ça y ressemblait, mais dans le noir total, comment voulez-vous savoir et reconnaître ce que vous tenez en main? C'est purement et simplement impossible. Elle tint cet objet qui peu de temps avant lui avait fait mal, elle avait le manche dans une main et l'autre bras le serrait contre elle. C'était sa nouvelle arme, la chose qui lui servirait à se défendre si ce qu'elle pensait était en train d'arriver. Une méchante personne devait être en train de parler avec ses parents et ce n'était peut-être pas en leur faveur. Alors qu'elle se concentrait sur tous les bruits qui pouvaient atteindre sa petite cellule, elle entendit la porte du salon s'ouvrir en plus grand, donc son frère avait raison, il s'était fait voir, certainement à cause d'elle puisqu'elle avait fait du bruit en se faisant surprendre. Elle les écouta ensuite parler. La voix apeurée de son grand-frère et celle plutôt amusée de son interlocuteur.

La seule chose qu'elle comprit dans toutes leur discussion qui ne dura en fait qu'un seul échange, fut le mot proie. Mot qui résonna dans son cerveau pendant un long moment, elle ne comprenait pas ce qu'il avait voulu dire par là. Elle savait ce qu'étaient des proies, elle savait que les animaux sauvages fonctionnaient de cette manière, un prédateur se nourrissant d'une proie qu'il avait chassé. Mais alors pourquoi est-ce qu'un humain était considérait comme une proie, qu'elle était le sens de ce mot. Elle ne comprenait plus rien à rien, elle ne voyait pas, elle n'entendait que des bruit de pas et des paroles étouffées, elle ne savait pas quoi penser, tout ce dont elle était sûr, c'était qu'un ou plusieurs méchants étaient là et qu'elle ne les laisseraient pas faire. Dès que sa porte serait ouverte, elle sauterait sur eux pour les faire partir, elle se défendrait ongles et dents, elle leurs ferait comprendre ce que c'était que de s'attaquer à la famille Amnell, et elle en était la digne descendante.

Se mordant la lèvre inférieur, elle se rapprocha de la porte du placard pour se coller à elle et écouter ce qui se disait de l'autre côté. Même si elle avait du mal à tout entendre et que les phrase étaient coupées, elle pouvait au moins déchiffrer ce qui se disait et le ton employé par les personnes. Elle fut choquée, dévastée et en colère par ce qu'elle comprit. Elle entendait clairement son père, elle reconnaissait parfaitement le timbre de sa voix, celui-ci était ni plus ni moins en train de supplier ses agresseurs pour rester en vie. Elle ne comprenait pas qu'il ose seulement s'incliner face à un adversaire, ce n'était pas possible. Puis ce qui suivit la mit encore plus en colère. Sa mère suivait son père, elle implorait elle aussi les personnes ou la personne qui étaient devant eux. Elle commençait à croire qu'elle divaguait, ce n'était pas vrai, ses parents ne feraient jamais ça, mais quand son frère prit la relève, elle fut certaine que ce qu'elle entendait n'était pas un simple rêve mais la réalité pure et dure. Ses parents imploraient x personnes pour avoir la vie sauve, ils étaient d'accord pour tout leur donner si seulement ils pouvaient rester en vie.

Elle entendit quelqu'un rire puis une réponse qu'elle ne déchiffra pas et enfin le cri d'agonie de sa mère, pourquoi criait-elle? Kalhan voulait savoir, elle essayait de pousser sur la porte pour l'ouvrir, mais à part sentir que tout le placard basculerait, elle savait que c'était perdu d'avance et que cette fichue porte ne s'ouvrirait pas de l'intérieur. C'était injuste. Un liquide lacrymale commença alors à dévaler ses petites joues pâles, elle se frotta énergiquement, ne voulant pas pleurer, elle ne voulait pas baisser les bras tout de suite. Bien que s amère ait crié avant de se taire d'un coup, rien ne prouvait ce que son cerveau lui disait. Elle n'était certainement pas morte, elle ne les laisserait pas, elle resterait toujours pour sa famille. Elle ne l'abandonnerait pas elle, son mari et son fils, non elle était invincible comme toutes mamans. Mais ensuite en entendant son frère pleurer et son père crier contre l'inconnu, elle se dit que finalement c'était peut-être le cas. Son cerveau avait peut-être raison, elle était peut-être bel et bien morte … Ne voulant pas finir en larme tout de suite, elle mit cela de côté en disant qu'elle n'était pas morte, que tut cela n'était qu'un cauchemar, et rien d'autre, elle finirait par se réveiller et irait pleurer dans les jupes de sa mère directement après.

Elle continua d'écouter, c'était la seule chose qu'elle pouvait faire pour l'instant, bien qu'elle se soit reculée de la porte pour être le plus loin possible d'elle, soit à quelque centimètre à peine. Elle entendait toujours les pleurs de son frère, et les protestations de son père, protestations et cri mélangé à des pleurs, le tout montré qu'il était pratiquement cassé mentalement. Elle ne voulait plus les entendre, elle voulait se réveiller, elle voulait que tout redevienne comme le jour précédent. Elle commençait doucement à laisser ses émotions prendre le meilleure d'elle, se laissant envahir par la tristesse et la peur. Elle sursauta et se mordit violemment la lèvres en entendant le cri d'agonie de son grand-frère. C'était la même chose que ce que sa maman avait fait mais en un peu plus grave et plus fort encore si possible, les cris finirent par devenir des borborygmes alors que son père pleurait totalement. Elle l'imaginait en train de tenir le corps sans vie de sa maman et de tendre la main vers celui de son fils qui maintenant devait être aussi mou et sans vie que celui de sa maman. Elle pleurait totalement, elle suivait l'exemple de son père. Elle ne voyait rien et cela était certainement pire que de voir toute la scène. Elle avait une main devant la bouche, et avalait de temps en temps le sang qui coulait de la blessure qu'elle s'était faite.

Son père parlait pour ne rien dire, il parlait à sa femme morte, à son fils tout autant mort, semblant dans un autre monde. Totalement déconnecté de la réalité, Kalhan se fit la remarque que si son père en sortait vivant, il se suiciderait certainement. Elle se frappa la tête avec le manche du parapluie, changeant petit à petit la peur qu'elle ressentait en force, la tristesse de la perte de sa famille au fur et à mesure en haine. Elle n'était pas sûre de réussir ce changement, mais elle savait qu'elle ne devait pas se laisser abattre, pour la mémoire de chacun, elle devait être forte pour eux, elle était la dernière survivante de cette famille, son père étant pratiquement mort et devant sûrement subir le même sort que les deux autres membres Amnell. Elle se faisait mal pour ne pas pleurer et pour ne pas penser à toute la tristesse qui l'accablait. Les larmes qui coulaient librement de ses yeux, elle n'y faisait pas attention, le sang qui sortait de sa lèvre meurtrie, elle n'y fit pas plus attention que cela, la bosse et le bleu qu'elle finirait par avoir sur la tête ne l'intéressaient pas, tout ce qu'elle voulait en ce moment même était de sortir de se trou à rat et de sauter à la gorge du monstre pour lui dire de lui rendre sa maman et son frère. Et maintenant son père, car celui-ci faisait comprendre par son gémissement qu'il souffrait mais qu'en même temps, cela ne le dérangeait pas d'aller voir sa femme et son fils de l'autre côté de la ligne.

Elle se disait que dès qu'on ouvrirait la porte, elle tuerait les méchants comme eux avaient du tuer sa famille, mais entre ce qu'elle disait et ce qui se passerait, elle savait qu'il y aurait une grande différence. Elle ne voulait pas qu'on ouvre la porte, elle voulait se réveiller dans son lit tout de suite, elle voulait pouvoir aller dans le lit de ses parents et se coller à leur chaleur pour lui prouver que cela n'était qu'un mauvais rêve. Mais la douleur qu'elle ressentait lui prouvait qu'elle avait tort et en cela elle ne pouvait le supporter. Elle attendait au fond de son placard, ne pouvant rien faire d'autre, elle attendait avec ce nœud au fond de la gorge, nœud qui lui disait qu'à la première occasion, elle fondrait en larme et crierait toute sa souffrance. Elle attendait, ne voulant jamais voir venir le moment où la porte s'ouvrirait. Ne voulant jamais voir si elle allait tomber sur celui qui avait tué sa famille en riant ou si elle verrait un policier. Elle ne voulait plus rien avoir à faire ici, dans ce monde. Pour l'instant, elle voulait juste revoir ses parents et pleurer tout son saoul à côté d'eux.

Elle entendit la poignée de la porte s'ouvrir, le grincement très caractéristique de la porte de ce vieux placard, elle entendit des pas qui s'éloignaient un peu. Elle vit de la lumière lui brulant au début la cornée de son œil et l'empêchant de bien voir mais ensuite ce qu'elle vit la mit en colère. Elle était face à un jeune homme, pouvant semblait très beau mais étant horrible pour la jeune fille, une jeune homme aux cheveux noirs, aux yeux bleus et au teint blafard. C'était un visage un peu flou à travers ses larmes mais un visage qu'elle ne risquait pas d'oublier. Elle voyait derrière lui la porte du salon ouverte et trois corps au sol, elle distinguait le visage de sa mère, son père et son frère, au sol. Blanc, totalement blanc, exsangue, elle ne les reconnaissait presque pas. Elle leva les yeux vers l'homme et vit son sourire plaqué sur les lèvres. Sans trop réfléchir, elle brandit son parapluie devant elle, prête à le frapper si il osait faire un seul pas dans sa direction. Ne sachant pas ce qu'elle faisait, elle se mit à crier, à hurler même contre lui.

"Monstre, espèce de monstre. Vous les avez tué, vous ne méritez que la mort, monstre, abomination de la nature. Monstre, monstre, MONSTRE … "

Elle ne fit que crier des monstres par la suite, le regardant sourire et faire demi-tour pour sortir de la maison comme si rien ne s'était passé. Elle resta planté là à pleurer pendant un moment avant de finir par courir vers l'étage pour se jeter dans le lit défait de ses parents et de se rouler dans leur couvertures, couvertures qui portaient encore leur odeur. Elle pleura et cria toute sa peine, jusqu'à ce qu'elle n'ait plus de voix. Elle continua alors à pleurer simplement, les épaules secouées. Le lendemain matin, alors que la police était dans la maison, un promesse s'élevait doucement du fond de ses entrailles, une promesse de mort. Elle tuerait l'homme ayant causé la mort de ses parents. Elle deviendrait plus forte et le ferait souffrir comme elle elle souffrait.

Fiche d'identité

Nom : Amnell
Prénom : Kalhan
Age : 20 ans
Sexe : Féminin
Préférence sexuelle : N'y a jamais réfléchi

Peur/Faiblesse :
* Sa plus grande faiblesse et la seule dont vous serez au courant est son histoire personnelle. La mort de sa famille à cause d'un vampire, un vampire qu'elle s'est jurée de tuer, d'anéantir de ses propres mains. De ce fait, elle a plus de mal à être réfléchi quand il est question de ce vampire là.

Armurie :

Arme 1 : Sourness de son petit nom. C'est une dague noire, entièrement noir, du manche à la pointe de la lame. Elle ne la quitte pas, la gardant jalousement cachée sous ses vêtements, mais ceux-là ne gêne en rien sa manipulation quand ele doit la récupérer. Sa dague jumelle se prénomme Oblivion. Celle-ci contrairement à l'autre est entièrement blanche, la lame étant un peu plus argenté que blanche quand même. Comme sa jumelle, elle est cachée sur le corps de la jeune femme mais est acile à récupérer.

Arme 2: Elle ne lui donne pas spécialement de nom et ne la porte pas sur elle. C'est un des poignards que son père possédait. Le poignard le plus ressemblant à celui qui a été volé par le vampire ayant tué toute sa famille.

Pouvoirs :

Caste : Médium

Pouvoir : Pouvoir de Télékynésie : peut faire bouger des objets par la simple pensée. A différents degrés, dans différentes circonstances, et en fonction de son niveau ^^


Description physique :
Kalhan est une jeune femme d'une vingtaine d'année. Elle prend soin de son corps et de son physique comme toute jeune femme digne de ce nom.
Elle possède de longs cheveux variant entre le bleu et le noir en fonction de l'intensité de la lumière. Ses cheveux sont coupés de façon à avoir une frange bien droite au-dessus des yeux, ensuite vient un dégradé jusqu'au niveau de la commissure des lèvres, ses cheveux sont de nouveaux coupés plus ou moins droits jusqu'aux oreilles, où là ils s'étendent de toute leur longueur. Atteignant facilement le haut de ses reins. C'est une coupe assez spéciale mais mettant son visage et son corps en valeur et la rendant encore plus belle qu'elle ne l'est déjà naturellement.
Faisant suite à ses cheveux, nous avons son visage, un visage fin, très féminin, et très pale, sans pour autant lui donner un teint maladif. Ce visage est orné par une paire de sourcils foncé et fin, ensuite vient les yeux, deux yeux d'un bleu clair très profond. Un petit nez tout mignon et une paire de lèvres pâles et pas trop charnue, ni trop fines.
Le reste de son corps est en harmonie avec son visage. Puisqu'elle prend soin d'elle afin de rester très féminine, elle a un corps fin, des formes bien proportionnées sans la gêner, ses hanches sont plutôt étroites. Tous ses membres sont fins mais on peut facilement voir les muscles existants du à ses entrainements intensifs pour ses combats à armes blanches ou à mains nues. Ses une personne qui veut après tout tuer un vampire, il fat donc qu'elle soit prête autant physiquement que psychologiquement. Tous les jours elle s'entraine, tous les jours elle passe un moment sur son pouvoir à essayer de l'améliorer pour pouvoir devenir encore plus forte.
Niveau vêtement, c'est quelque chose de simple. Des habits mettant en valeur son corps et ne gênant pas ses mouvements, elle ne demande rien de plus que cela, si ce n'est une touche de féminisme dedans. Elle est une jeune femme, et elle est fière de l'être.

Description psychologique :
Kalhan est une jeune femme qui physiquement semble fragile et douce, mais on ne vous a jamais appris à ne pas vous fier aux apparences? Cette jeune femme est quelqu'un de fort et de très obstiné, elle ne se laissera pas marcher sur les pieds si facilement et sans réagir, puis si vous croyez qu'il sera simple de lui faire changer d'avis, essayez pour voir.
Toujours très féminine, Kalhan est capable de manipuler n'importe qui pour son but suprême, celui d'anéantir les vampires et les lycans. Mais elle souhaite surtout la mort du vampire ayant tué toute sa famille la laissant ainsi à l'abandon. Si elle le pouvait, elle le tuerait certainement elle-même.
Sachant se battre, Kalhan est néanmoins une femme prudente, selon elle " tout le monde doit être capable de se sacrifier pour le bien commun ", mais elle ne se compte probablement pas dans le " tout le monde " puisqu'elle n'est pas du tout de nature à plonger la tête la première dans la gueule du loup. D'ailleurs, elle n'a pas hésité à envoyé les nekos à la mort à sa place, tout comme elle compte bien le faire avec les elfes si elle parvient à avoir leur aide. Elle fera tout ce qui est en son pouvoir pour rallier les elfes à sa cause et ainsi les mettre en première ligne, elle se tenant au fond comme les empereurs romains de l'ancien temps.

Histoire :
Enfant Kalhan menait une vie tranquille même si pas forcément parfaite, elle avait une famille : un père, une mère et un grand frère. Préférée de la famille, elle avait toujours ce qu'elle voulait quand elle le voulait, sauf peut être des amis. En effet, si la petite était fille de riche ça semblait la rendre infréquentable aux yeux des autres enfants, à tel point qu'il lui arrivait souvent de se battre à l'école parce que tout le monde s'en prenait à elle. Lorsqu'une nuit, alors qu'elle était âgée de dix ans, elle a découvert qu'un vampire attaquait sa famille. [voir message précédent]
Suite à cet affreux événement, Kalhan s'est fait la promesse de tuer cet être. La tristesse qu'elle ressentit lui permit de découvrir son pouvoir ainsi que les 'écrits'. Ces 'écrits' lui ont permis de savoir ce qu'elle devait faire afin d'éradiquer les créatures ayant gâché sa vie. Depuis la découverte de ce texte, elle est devenue la 'prophétesse', l'une des rares possédant un pouvoir et c'est celle qui se mit à diriger les opérations.
Durant les quatre dernières années, elle fut à la tête, essayant de trouver divers moyens pour éliminer les vampires te les lycans de la surface de la terre. C'est grâce à sa personne que les nekos ont vu le jour, mais c'est aussi de sa faite que ces derniers se soient rebellés. Elle prit en compte ses erreurs et maintenant, l'ambition la faisant avancer et non pas reculer et celle de trouver les elfes. Elle veut faire d'eux ses nouveaux cobayes, ses nouveaux jouets, une fois que les humains auront décidé d'être plus bêtes que leurs pieds et de se jeter dans la gueule du loup pour récupérer un ouvrage censé les sauver.

Lien avec d'autres personnages du forum : Elle n'a jamais revu Damen Angelo depuis qu'il a tué toute sa famille en lui laissant la vie sauve, mais il est certain qu'elle le reconnaîtra et le haïra à l'instant même où elle verra son visage. ( à savoir : Damen possède un poignard qui appartenait au père de Kalhan )

Fiche IRL

Age : 19 ans
Sexe : Féminin
Pays : France

Que pensez vous du design : Simple et joli

Avez-vous lu entièrement le règlement : Oui

Quel est son code :

Multicompte : Isildur Ardamir (elfe)
Fréquence de connexion : En fonction de mes cours à la rentrée ^^